Modern Science and the Dehumanization of Man
« La science moderne et la déhumanisation de l’homme » critique la philosophie empirico-rationaliste qui nie la connaissance métaphysique, en faisant remonter ses racines à des penseurs du XIXe siècle comme Sir William Hamilton. L’auteur soutient que cette perspective favorise une société déshumanisée et mécanisée, remplaçant le monde médiéval spirituellement intégré, malgré ses limitations et lacunes dans d’autres domaines. Il soutient que la science moderne, enracinée dans le rationalisme, réduit les êtres humains à de simples entités mécaniques, dépouillant la vie de ses qualités sacrées et imaginatives. Sherrard appelle à un renversement de cette tendance par une récupération de la conscience spirituelle, affirmant que seule une compréhension religieuse peut véritablement saisir et préserver l’essence de la nature humaine.