Spiritual Governance as an Indigenous Behavioural Practice: Implications for Protected and Conserved Areas
John Studley & Peter Horsley2019
De nombreux lieux naturels sacrés dans le monde se trouvent dans des territoires habités par des peuples autochtones animistes et se caractérisent par une gouvernance spirituelle, un libre arbitre et la biodiversité. Bien que l’importance des sites naturels sacrés autochtones soit de plus en plus reconnue par les écologistes comme un abri pour la biodiversité, l’importance de la gouvernance spirituelle n’est pas encore bien comprise. Ce type de lieux naturels sacrés reflète la nature physique, biologique, spirituelle et culturelle de la vie quotidienne à travers l’engagement, l’engagement et l’attraction sociaux, culturels et rituels.
Normalement, les propriétaires et les dépositaires sont les esprits (numens), qui exigent un certain comportement dans la société lié au changement de protection, de gouvernance et de bénédiction. Le but de cer article, basé sur une enquête menée dans le sud-ouest de la Chine, est de fournir des preuves de l’importance de la gouvernance spirituelle comme condition préalable à la protection de l’intégrité bioculturelle de nombreux lieux naturels sacrés indigènes dans le monde. Le travail se termine par un cadre juridique polycentrique pour la gouvernance spirituelle, qui examine les implications pour la gestion et la gouvernance des zones protégées et conservées.
Référence
John Studley & Peter Horsley (2019) Spiritual Governance as an Indigenous Behavioural Practice: Implications for Protected and Conserved Areas, in B. Verschuuren and S. Brown (eds) Significance of Nature in Protected Areas. Governance, Management and Policy. Earthcan, p. 72-84.